L’établi de Christophe est serti au cœur de la pièce.
Il œuvre là en toute transparence. Il manie limes, pinces, fraises, bigornes et polisseuses avec dextérité, concentré.
Il fait penser à ces nouveaux chefs cuisinant sous les yeux de leurs convives.
La confiance s’installe.
Le visage est à fleur d’établi, l’œil rivé sur la énième étape d’une création lancée il y a quelques jours.